Soudé derrière son leader et déterminé à affirmer sa souveraineté, le peuple des Hommes intègres s’est levé à travers le pays et en dehors pour exprimer son ras-le bol, sa colère et son indignation face à ce qu’il a considéré comme le mépris et la condescendance de trop d’une certaine élite occidentale contre le chef de l’Etat burkinabé. La pilule très amère n’a pas pu être ingurgitée et les citoyens ont décidé de faire passer un message fort : Plus jamais les africains ne laisseront éliminer ses dignes fils sans riposter. Les crimes de Thomas SANKARA, Patrice LUMUMBA et tous les autres leaders panafricains risquent de connaître une riposte mouvementée si les complotistes clairement identifiés touchent à un seul cheveu du Président de la République, le Capitaine Ibrahim TRAORE.
Depuis plusieurs mois, les pays du Sahel et particulièrement le Burkina Faso traversent une période de profondes tensions géopolitiques, marquées par une remise en question des relations avec les puissances occidentales et une rupture totale avec l’administration française dont la complicité dans l’accompagnement des terrorises à travers formations, fournitures d’armes de pointes et couverture médiatique aux terroristes qui attaquent les pays de l’AES et particulièrement le Burkina Faso est clairement établis avec preuves détenus au plus haut sommet des différents états. Face à ce qu’il perçoit comme du mépris et de l’ingérence américaine dans ses affaires internes, le peuple burkinabè, fier et souverain, manifeste son mécontentement avec vigueur. Cette montée en contestation traduit une volonté claire de redéfinir les dynamiques de coopération internationale et d’affirmer une indépendance politique sans concession.
Un sentiment d’exaspération face aux ingérences coloniales
Les propos mensongers du Général Michael Langley , commandant du commandement d’Afrikom ont respecté la procédure de diabolisation que ces états colonisateurs, envahisseurs, pilleurs ont toujours utilisé avant de s’en prendre aux dirigeants africains panafricains qui ont eu à engager la lutte pour la libération totale des peuples noirs. Raconter des mensonges sur le Président Ibrahim TRAORE, qui seront transformés par leurs médias propagandistes en alibis pour la déstabilisation du Burkina Faso est une stratégie connue et cette fois-ci, les africains et les défenseurs des libertés souverainistes ont dit « STOP ». Cette manifestation du mécontentement du peuple burkinabé a montré tout l’attachement d’une nation derrière son leader. Cette condescendance entretenue s’alimente d’un historique de politiques étrangères jugées paternalistes, de prises de position occidentales qui semblent ignorer la souveraineté nationale, et d’un sentiment persistant d’injustice. Depuis la montée au pouvoir des autorités actuelles, la relation entre Ouagadougou et Washington s’est considérablement détériorée, exacerbée par des sanctions et des pressions diplomatiques que beaucoup considèrent comme un frein à l’émancipation politique du pays.
Une mobilisation populaire nationale et internationale qui transcende les divisions et marque définitivement la rupture avec l’ordre colonial
Face à cette situation, la société civile et divers mouvements politiques se sont mobilisés, réclamant une réévaluation des alliances stratégiques et une approche plus en phase avec les aspirations nationales. Des manifestations, des discours engagés et des prises de position fermes dans les médias locaux montrent que la colère dépasse les cercles politiques et devient un cri du cœur du peuple. L’objectif ? Rompre avec une dynamique perçue comme néocoloniale et affirmer une souveraineté sans compromis. Les peuples des trois pays de l’AES et les peuples noirs dans leur immense majorité ont décidé de prendre le train du développement en marche à travers les trois valeureux hommes d’état, décidés à crier haut et fort que l’Afrique n’a jamais été pauvre, mais plutôt appauvri par l’impérialisme et le colonialisme.
Cette contestation qui s’est manifestée au delà des frontières du Burkina Faso, de l’AES et de l’Afrique, pourrait bien marquer un tournant décisif dans la politique extérieure du Burkina Faso et accélérer la souveraineté effective d’un continent longtemps pillé avec des massacres planifiés de ses enfants pendant longtemps. Certains observateurs évoquent une volonté croissante de ces pays qui ont pris le courage de se libérer, de diversifier leurs partenaires internationaux en renforçant des liens avec d’autres puissances émergentes, notamment au sein du continent africain. Cette orientation, loin d’être anodine, traduit une tendance plus large observée dans plusieurs nations africaines qui aspirent à une autodétermination plus affirmée face aux influences extérieures.